vSuivez mon regard
du jeudi 8 mai au jeudi 19 juin 2014
Vernissage le mercredi 7 mai à partir de 18h, en présence des artistes
Artistes et aux artisans d'art, aux talents et aux savoir-faire, à l'expressionnisme et à l'art singulier.
exposition inaugurale 100% féminine pour l'occasion !
Pour sa première étape L’œil de la femme à barbe a choisi d'élire sa résidence temporaire dans les murs de la galerie Frangulyan, 105 rue Quincampoix Paris 3ème, du jeudi 8 mai au jeudi 19 juin 2014.
Barbara d'Antuono, Nadja Berruyer, Rébecca Campeau, Michèle Forest,Odette Picaud (Fanny Crenn), Martha Romeroet Ariane Sroka
Galerie Frangulyan
105 rue Quincampoix
Paris 3ème
Du 3 mai au 27 mai de 12 à18h
Vernissage mercredi 30 avril à 18h
25 plasticiens
Avec la participation de Florence Guillemot et Sophie Menuet
Place Armand Valle
Toulon
04 04 89 36 18
vSuivez mon regard
du jeudi 8 mai au jeudi 19 juin 2014
Vernissage le mercredi 7 mai à partir de 18h, en présence des artistes
Artistes et aux artisans d'art, aux talents et aux savoir-faire, à l'expressionnisme et à l'art singulier.
exposition inaugurale 100% féminine pour l'occasion !
Pour sa première étape L’œil de la femme à barbe a choisi d'élire sa résidence temporaire dans les murs de la galerie Frangulyan, 105 rue Quincampoix Paris 3ème, du jeudi 8 mai au jeudi 19 juin 2014.
Avec la participation des artistes textiles :
Barbara d'Antuono, Nadja Berruyer, Rébecca Campeau, Michèle Forest,Odette Picaud (Fanny Crenn), Martha Romeroet Ariane Sroka
Galerie Frangulyan
105 rue Quincampoix
Paris 3ème
Sortie de secours
Du 25 avril au 11 mai 2014
Vernissage le vendredi 25 avril de 18h à 22h
Avec : Maya Benkelaya & Amandine Casadamont, Morice Berchu, Marion Bocquet-Appel, Hervé Bréhier, Laurent Fievet, Laurent le Bourhis, Victor Poirel,
Romain Trinquand, Céline Tuloup
Commissaires : Maya Benkelaya et Céline Tuloup
L’artiste est habité par la nécessité de sortir des chemins balisés et de trouver une échappée. Cette recherche implique une errance solitaire, un parcours semé de doutes, un égarement volontaire. L’exposition« Sortie de secours » présente des œuvres où s’exprime cette quête. A travers la pratique de
la sculpture, du dessin, de la peinture et de la vidéo, les artistes nous livrent leur propre chemin. Les œuvres présentées évoquent des parcours aussi bien mentaux que géographiques dans lesquels on se perd à la recherche d’une sortie difficile à trouver. Mettant en scène des quêtes sans fin où se jouent
des situations absurdes, répétitives ou labyrinthiques, elles nous donnent à voir un espace-temps bouclé sur lui-même : « La logique mène à tout, à condition d’en sortir. » (Alphonse Allais)
Les tambours brodés de Céline Tuloup évoquent les boules de la pensée.
L’artiste a reproduit les tests de Rorschach en les multipliant et les organisant selon des motifs se situant entre le mandala et le kaléidoscope. L’installation évoque aussi bien nos quêtes spirituelles individuelles que des visions hallucinatoires dans lesquelles chacun peut se perdre.
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Plateforme Paris
73 rue des Haies, 75020 Paris

Exposition du 10 avril au 27 mai
Vernissage le jeudi 10 avril
Exposition personnelle de Julie Navarro, présente au vernissage du 8 au 13 avril puis au parcours d'art Russafart du 30 au 2 juin.
Pour l'exposition elle a crée une partie des oeuvres en Espagne, inspirée par les paysages de l'Albufera et les maisons locales éponymes, tout en jouant sur le caractère équivoque du mot barraca, qui signifie en Français «avoir de la chance ». L'ambiguité du mot autorise d'autant plus l 'artiste à courir après les accidents. En effet, en prenant appui sur les erreurs picturales qui produisent les mutations attendues, l'artiste travestit sciemment sa mémoire pour orienter le sillon là ou elle ne l'attend pas et entrer dans l'espace d'ou surgit la conquête de nouveaux horizons. A l'échelle de son corps, et au fil de son imaginaire, elle transforme, grâce à l'emploi de médiums variés (peinture, dessin, broderie) les décors qu'elle traverse.
Deux principaux gestes l'y amènent et se rencontrent dans l'exposition : l'un franc et rapide qui laisse parler l'évidence de ses visions dans la précision d'un trait à la frontière du vide. L'autre, qui semble le précéder, relève d'une action méditative, parfois répétitive (broderie) durant laquelle l'artiste couvre la toile (châssis ou tambourin) pour générer une profondeur spatiale et provoquer le dialogue avec l'horizon qu'elle pénètre au sens propre (aiguille) comme au figuré. Elle y révèle ses visions, interprètes de sa mémoire sensible - le passage du château ambulant, un battement d'aile, le vert de lune, les maisons suspendues ou morceaux de paysages... - jusqu'à produire des métamorphoses : les dessins-dentelles à l'aquarelle transforment les barracas en structures triangulaires, à la fois denses et aérées, construites comme un enchevêtrement d'enveloppes corporelles lovées les unes sur les autres. En définitive, les oeuvres qui apparaissent variées dans leur représentation, et autonomes, produisent dans la scénographie d'ensemble, une partition poétique.
galerie Arquitecnica Ruzafa
Puerto Rico 28
Valencia Espagne